Comparaison des oeuvres.

  Analyse globale du film  

Des sentiments restitués dans l'ensemble de la réalisation

Selon nous l'adaptation cinématographique de La Vague suit la même intrigue que celle du livre. En effet les grands thèmes du totalitarisme et de l'autocratie sont présents tout au long de la réalisation de Dennis Gansel. Néanmoins, nous ne retrouvons pas le "cliché" des lycées américains présents dans le roman (équipes de sports lycéennes comme le football américain, le journal scolaire...).

Dans le film, l'action se déroule en Allemagne actuelle. Ainsi les grands thèmes, évoqués ci-dessus, peuvent paraître plus ancrés dans leur contexte car certaines répliques font référence au "Troisième Reich" et au nazisme. A titre d'exemple, certains élèves ne veulent pas étudier le sujet qui fait "la honte" de l'Allemagne : "-Le troisième Reich...-Oh c'est reparti pour un tour !".  Les noms des personnages ont été modifiés, "germanisés", afin d'accorder plus de vraisemblance au film. Le professeur Ben Ross devient le professeur Reiner Wenger.

 

Nos Avis

Cindy : Certes, chaque personnage retrouve son équivalent Allemand. De plus, le déroulement de l'histoire dans le film est quasiment similaire à celui du roman. Mais la représentation filmique a quand même des divergences par rapport au roman, notamment l'élément qui fait que le mouvement de la vague commence, dans le roman c'est suite au visionnage d'une vidéo sur les camps de concentration, passage sauté dans le film ; également la fin qui est malheureusement plus dramatique dans le film que dans le livre. Le fait est, que dans le film, les élèves paraissent plus agressifs, plus "animal" que dans le livre et permet de bien mettre en évidence l'ampleur de ce mouvement et de choquer le spectateur. Le film reprend tout de même les ressorts du fascisme, la fragilité insoupçonnée d'une démocratie qui fait vraiment réfléchir. Je n'ai pas vraiment aimé le film, il n'était pas à la hauteur de mes attentes par rapport au roman qui lui est vraiment fantastique, objectif, jusqu'à la dernière page.



Mélusine Selon moi, l'adaptation cinématographique de La Vague suit en partie bien l'intrigue de l'histoire. Toutefois, j'ai regretté de ne pas voir apparaitre une scène qui pour moi semblait être l'élément déclencheur des événements. Cette scène est clairement décrite dans le livre : les élèves visionnent un film sur les camps de concentration et la déportation. Ils sont ainsi frappés par les faits terribles et historiques, ce qui explique le commencement de la vague.
J'ai trouvé intéressant que le réalisateur ait choisi de modifier la fin. En insérant une scène choquante (la mort d'un élève ainsi que l'arrestation du professeur) l'esprit du spectateur est frappé, marqué. Cela l'incite a réfléchir sur le sujet : une dictature pourrait-elle être de  nouveau instaurée ? C'est une question à méditer.


Léa  Avec son scénario prenant et une action quasi-permanente, La Vague m'a vraiment captivée jusqu'à la dernière scène. Ce long métrage m'a aussi poussé à la réflexion, et je me pose (encore) de nombreuses questions. J'ai été la seule d'entre nous quatre à lire le roman après après avoir visionné le film. J'ai bien sur retrouvé l'intrigue principale, mais je trouve cependant que la violence se fait plus présente dans le film. Les images, peut être, nous choqueraient-elles plus que les mots? Je trouve que le film ainsi que le livre représentent la réalité actuelle. Des jeunes, en perte de repères et qui s'impliquent « à fond » dans un projet qui leur permettra d'appartenir à un groupe, à une certaine communauté et de découvrir une nouvelle façon de vivre. Une adolescence qui rimerait avec motivation, mais sans laisser à l'écart une pointe de naïveté ?
La Vague nous montre la possible ascension d'un régime autocratique incontrôlable (ou presque), qui pourrait refaire surface dans la société d'aujourd'hui.

Marine L'histoire et l'intrigue du roman ont été, selon moi, particulièrement bien conservées. Chaque personnage américain a son équivalent Allemand et le déroulement de l'action est à peu près similaire à celui du livre. Au départ, la différence entre la fin du livre et celle du film m'avait quelque peu dérangée. Puis, avec un peu de recul, je trouve que cette fin "malheureuse" avait vraiment sa place dans le film. Je pense que sans les mots et les phrases d'un roman, un film ne peut pas toucher et choquer le spectateur. Il lui faut un "choc", un élément doit venir le perturber. C'est ainsi que le film et le livre font de La Vague une œuvre touchante qui marque les esprits. J'ai donc vraiment aimé le film, ainsi que le livre, car l'auteur et le réalisateur ont tous deux réussi à faire de cette histoire une leçon de vie.






Analyse globale du film

Une histoire obscure dénaturée par une réalisation plus "positive"

Dans le livre, l'atmosphère est très sombre. Claire, le personnage principal, est une simple caissière de supermarché, seule et sans amis. Sa tristesse et son bouleversement sont fortement exprimés suite à la disparition soudaine et inexpliquée de son frère, un être qui lui est cher. C'est une histoire morose. Les phrases courtes et froides donnent peu de répis au lecteur, qui se sent tourmenté et inquiété par les évènements.

Dans le film, nous trouvons que  l'esprit de l'œuvre n'est pas bien conservé. De plus,  le déroulement de l'histoire est beaucoup modifié. Nous retrouvons dans l'adaptation cinématographique beaucoup de divergences.

Tout d'abord, les prénoms des personnages sont différents. Claire est rebaptisée Lili (de son vrai prénom Élise). Dès le début du film, l'atmosphère paraît plus légère. En effet, Lili rentre de vacances avec une amie. On découvre alors un visage souriant, qui change les attentes du spectateur. Si celui-ci a lu le roman en premier, il s'attend sûrement à voir une jeune femme affligée et seule. Plus tard, Lili se renferme sur elle-même lorsqu'elle apprend "la tragédie", la mort de son frère. Elle finit même par ne plus manger, elle s'évanouit en classe (en effet, dans le film, elle est étudiante au lycée) et doit se faire hospitaliser. Le spectateur comprend implicitement que la jeune fille souffre d'anorexie. Le réalisateur Philippe Lioret insiste sur la maladie. Peut-être ce dernier y verrait une remise en cause des médecins et des infirmiers en psychiatrie. Ils nous sont montrés froids et obtus, presque insensibles. A l'inverse, dans le livre l'auteur n'en parle pas du tout. Cependant, Lili se perd dans les soirées et se noie dans l'alcool.          

L'histoire du livre est racontée par de nombreuses ellipses narratives alors que le long-métrage suit un déroulement linéaire. Tout au long du film, on remarque de nombreux plans poitrine, qui permettent au spectateur de voir les émotions des personnages. La musique contribue également à cet effet, en intervenant fréquemment (surtout lors de la scène dans laquelle Lili se rend au lycée dans un transport en commun). 



  Nos Avis

Cindy  Pour moi le film n'est pas à la hauteur du livre. Certains noms de personnages sont changés, et des scènes ont été ajoutées  et dénaturent le sens même du roman. Le déroulement des péripéties dans le  film sont altérées par rapport au livre. Claire (Lili dans le film) est moins seule dans le film que dans le roman, là, elle se retrouve encadrée par des amis. De même, l'héroïne parait moins impliquée dans la recherche de son frère. Le film est plus axé sur son mal être (anorexie, passage à l'hôpital...), alors que pour l’auteur elle est plus présente chez ses parents par exemple. Dans le livre on voit qu’il y a un réel intérêt sur sa vie à Paris, le film, qui nous la présente vivant en banlieue pavillonnaire, refroidit un peu le cours de l'histoire effleurant à peine sa vie de caissière, son errance amoureuse.  Le fait de  la faire vivre chez ses parents en banlieue, qui plus est dans un lotissement de pavillons, rend peu crédible que personne en un an n'ait l'occasion de lui dire ce qui s'est passé. Dans le livre, elle vit vraiment une vie éloignée de sa famille et de ses anciennes connaissances ce qui donne un peu plus de crédibilité à l'histoire. Malgré tout on comprend bien que le film est une adaptation du roman d'olivier Adam


Mélusine Je vais bien ne t’en fais pas est un livre assez sombre, voire déstabilisant. On ne retrouve pas le même malaise dans le film. L’ambiance est beaucoup plus légère et ce triste sentiment se ressent moins. Dans le roman, l’auteur essaye de nous faire comprendre à quel point la jeune héroïne est seule et attristée sans la présence de son frère. Dans le film, Claire (renommée Lili) a des amis sur qui elle peut compter. De plus, le réalisateur Philippe Lioret insiste énormément sur l’anorexie de la jeune fille alors que dans le livre ce détail n’est pas une seule fois cité. Toutefois, le film reste très beau et il mérite vraiment d’être vu.


Léa  Une histoire sombre et pleine de mystère... Mystère qui plane tout au long du roman, et qui, selon moi, n'est pas restituée dans la réalisation de Philippe Lioret. Cependant, les deux ouvres restent émouvantes et touchantes. J'ai trouvé le suspense plus présent dans le film. L'on ne s'attend pas à une telle fin, le "twist" de cette dernière est vraiment surprenant, malgré tous les indices qui nous laissent croire à la disparition définitive du frère de Lili. J'ai espéré, jusqu'aux dernières minutes, que l'histoire se termine bien.


Marine Pour moi, l'intrigue est vraiment différente dans le film ! Bien que les personnage soient à peut près respectés, que l'univers et l'ambiance du roman se retrouvent parfaitement dans le film, le déroulement des péripéties est complètement chamboulé. Ayant vu le film avant de lire le livre, j'ai vraiment été surprise agréablement, car l'ambiance et le malaise que j'avais découvert dans le film de Philippe Lioret se retrouve vraiment bien dans le roman. Il est vrai que ce récit est profond et plein de moral, il nous fait ressentir un sentiment déstabilisant mais vraiment unique. Je trouve malgré tout vraiment dommage le non-respect de quelques "détails": le roman montre à quel point l'héroïne est seule et décontenancée sans son frère, sa moitié. Alors qu'elle a des amis fidèle à qui elle se raccroche dans le film. Également dans le film, on ne comprend pas pourquoi le réalisateur tien à insister sur l'anorexie de l'héroïne alors que dans le livre on ne parle pas une seule fois de cette maladie.




Analyse globale du film

Une réalité recréée, une ambiance restituée

L'histoire de Virgin Suicides, racontée par cinq garçons, repose sur un mystère féminin. En effet, le roman est narré par ces cinq adolescents qui désirent connaître le monde des filles Lisbon. Les narrateurs rassemblent tous les éléments qui leur permettraient enfin de comprendre ce qui a poussé les filles à se donner la mort.

On retrouve dans le film, le "cliché américain" présent dans le livre. Notamment, la présence du personnage de Tripp Fontaine, le "bad-boy" sportif (il fait du football américain). De plus, les prénoms ne sont pas changés, modifiés,  dans la mise en scène. Selon nous, cela contribue à la restitution de l'histoire. Un  petit détail qui nous semble toutefois important.

Durant de nombreuses scènes du film, on retrouve un certain jeux de lumières, des couleurs pastels. Ces effets transportent les spectateurs dans un monde qui pourrait lui sembler irréel et chimérique. Les cinq sœurs , "rêveuses" semblent "totalement déconnectée[s] de la réalité" (extrait du livre). Et pourtant, l'histoire n'a rien d'un conte de fées ! La bande originale, composée de musiques douces et apaisantes, contraste avec la tragédie.

Le roman et sa représentation cinématographique représentent clairement un cadre spatio-temporel correspondant au années 1970. Auteur et réalisatrice manient tous deux les "codes" vestimentaires, les "codes" architecturaux  et même le vocabulaire de cette époque. Tous deux ont la volonté de donner aux sœurs Lisbon une "véritable" histoire. Inspiré d'un fait divers pour la rédaction de son roman, Jeffrey Eugenides laisse libre cours a son imagination, ce que Sofia Coppola met bien en scène. 





 


Nos Avis


Cindy : Très belle histoire. Au travers de la personnalité des personnages, le roman exerce une critique de la société, puritaine. Le roman comme le film a un scénario émouvant qui fait  réfléchir. Nous pouvons constater que de nombreux détails paraissent décalés. Selon moi la narration comporte des imprécisions. Dans l’adaptation cinématographique, l’aspect d’enquête sur les sœurs Lisbon par les garçons change, dans le roman, ils s’impliquent vraiment des cinq sœurs, ce qui dans le film parait moins intense car tout est centralisé sur les sœurs.  

Mélusine Quelques détails du roman ont été modifié dans la réalisation filmique. Tout d’abord, les cinq adolescents, qui sont narrateurs dans le livre, sont moins mis en évidence. On ne découvre pas l’histoire selon leur propre point de vue. Je trouve que dans le livre c’était important de découvrir le mystère des filles Lisbon à travers leur regard.
Je trouve toutefois que le livre et le film sont tout deux aussi déstabilisants. Je n’ai pas vraiment apprécié l’histoire, je l’ai trouvé trop tragique. Mais l’intrigue est bien respectée et on reste déstabilise.

Léa  Le livre de Jeffrey Eugenides est présenté comme un rapport, une enquête menée par un groupe d'adolescents qui développent une réelle « passion » pour les sœurs Lisbon. La version cinématographique de Sofia Coppola montre un réel intérêt pour les sœurs, mais sous un autre angle. Les garçons , je trouve, sont moins mis en avant que dans le roman. En effet, dans ce dernier, ce sont eux les narrateurs. Je trouve que l'histoire apporte de nombreux détails qui ne me semblent pas essentiels à la poursuite de l'action. Ceux-ci « cassent » quelque peu, à mon avis, le rythme de l'histoire.
L'ambiance mystérieuse du film, renforcée par la bande originale qui colle parfaitement avec, m'a mise (presque) mal à l'aise durant toute la durée de l'intrigue. Sentiment qui à subsisté, même après plusieurs visionnages.


Marine Il est clair de dans le film de Sofia Coppola, l'importance des quatre garçons, que l'on retrouve dans le roman, n'est pas aussi présente. Malgré tout, le sentiment de "mal-être" d'incompréhension que l'on connait dans le livre, est le même lors du visionnage du film (même en connaissant la fin). On a l'impression de "redécouvrir" l'histoire, à chaque fois. et même après l'avoir vu plusieurs fois, quelques détails m'échappent encore, certaines questions persistes. Ainsi durant tout le film, de nombreuse émotions nous traversent : L'angoisse, la peur et même le rire. J'ai vraiment bien aimé cette adaptation, aillant lut le livre après le film je n'ai donc pas été déçue et le livre m'a confortée dans mon avis.




Analyse globale du film

Une adaptation cinématographique plus explicite

En général, le roman est bien repris par le film. L'atmosphère pesante, limite oppressante se fait bien ressentir.

Parfois, dans le roman de Jonathan Trigell les passages peuvent être flous et nous avons eu du mal à les comprendre. Il y a de nombreuses ellipses narratives, des "flash-back" sur l'enfance de Jack. L'on parvient mieux à les distinguer dans l'adaptation cinématographique. En effet, dans cette dernière, les personnages sont représentés dans le passé : c'est a dire plus jeunes, et représentés par d'autres acteurs.



Dans le livre,  les mots sont froid, l'écriture est dure. Ces procédés traduisent la difficulté de l'enfance de Jack (un père assez violent, une mère malade...) et le malaise qui le poursuivra tout au long de sa courte vie. Le lecteur partage le malaise du personnage principal.



Nos Avis

Cindy : Tout au long du livre comme dans le film, nous pouvons percevoir une atmosphère pesante, limite oppressante. Le fait d’avoir vu le film avant de lire le roman, m’a aidé à mieux comprendre  certain passage du livre. Pour ma part,  je préfère l’adaptation cinématographique au livre car le film est plus clair, amplifie le mal être de Jack. Néanmoins, le film comme le livre, retrace la difficulté de réinsertion dans la société  pour les anciens  détenus (ici Jack).


Mélusine Boy A est un film simple mais qui traite d'un sujet dur. Cette histoire est un modèle pour le spectateur qui en ressort instruit et bouleversé. On ressent aussi bien dans le livre que dans le film un sentiment de compassion par rapport au personnage principal, qui a tenté de reconstruire sa vie et ainsi, de purger sa peine. Malheureusement, la bêtise humaine montre bien sa grandeur : les autres ne l'acceptent pas, même malgré ses efforts pour devenir quelqu'un d'autre.

Léa Le livre ainsi que le film m'ont beaucoup touchée. L'histoire est simple, mais néanmoins bouleversante et apprend au lecteur une vraie leçon : la société ne pardonne pas et reste sur des préjugés. Jack tente d'oublier son enfance et de devenir un autre adulte qui vit au delà de son passé. Il tente de se réinsérer au sein de la société tout en discrétion et avec pudeur, après de longs mois renfermé sur lui-même. De plus, j'ai trouvé le jeu des acteurs poignant, notamment celui du personnage principal. Boy A nous montre à quel point la faculté de pardonner est importante. 

Marine



 Analyse globale du film

Des sentiments amplifiés par la splendeur des paysages, la beauté de la musique et des faits plus romancés


Dans le roman, les aventures de Christopher McCandless sont relatées par le point de vue de l'auteur. En effet, ce roman est considéré comme une œuvre biographique. On y retrouve de nombreuses cartes, des citations, quelques lettres, des parties de son journal de bord et des articles de journal. C'est un récit plutôt objectif car il est raconté par l'auteur, qui est aussi le narrateur Jon Krakauer, auteur et journaliste (ce détail nous est donné dans l'avant propos). 

Au contraire du roman, le film est plus axé sur le point de vue de Christopher. Le film est composé  de nombreuses ellipses, qui nous expliquent toutes, peu à peu, la cause et les raisons de son départ. On peut les classer en trois parties : l'une qui correspond à son enfance, une autre à son trajet entre Atlanta, Georgie, et Piste Stampede, Alaska et la dernière correspondant à sa découverte du bus et sa vie dans ce nouvel environnement.







 Nos Avis


Cindy

Mélusine Tout comme Léa, je trouve que l’adaptation d’Into the Wild complète soigneusement le roman de Jon Krakauer. Le livre est composé de lettres, de cartes, d’extraits du journal de bord de Christopher McCandless et d’articles de presse. J’avais un peu de mal à m’imaginer la splendeur et l’immensité du paysage. Grâce aux plans d’ensemble et panoramiques de cet environnement inconnu, on partage le même sentiment de liberté que le personnage. De plus, la musique calme joue beaucoup sur ces sentiments ; elle amplifie, selon moi, la beauté de la Nature et cette envie de s’évader.



Léa Selon moi, l'adaptation cinématographique d'Into the wild complète tout à fait le roman de Jon Krakauer. En effet, pour ma part, je considère le roman comme une enquête journalistique, ayant un coté plus « factuel ». Au contraire, dans la version cinématographique l'on retrouve une « vraie » histoire. Je ne m'attendais pas à une telle fin !  C'est un long métrage prenant et émouvant. La musique et les paysages sont parvenus à me faire voyager pendant les deux heures et trente minutes du film.
Comme Chris, j'ai eu envie de prendre mon sac et de partir à l'aventure. Je trouve qu'il offre au spectateur une véritable envie de liberté et lui rappelle la force de la Nature.



Marine Into the wild est pour moi, une des meilleures et rares adaptation cinématographique à réellement amplifier les sentiments du lecteur. Ce film m'a vraiment bouleversé et touchée. L'histoire de se jeune homme fais rêver au départ puis nous fais ressentir tellement profondément ses sentiments que je ne me lasse pas de le regarder. La musique est, pour moi, LA touche finale qui à rendu le film aussi "prenant", elle accompagne parfaitement les paysages grandioses et rythme l'histoire jusqu'à la toute fin.